dimanche 18 janvier 2009

Notre quotidien chilien a Santiago.

La vie de tous les jours s'est établi au rythme du soleil. Ce digne astre qui nous réchauffe se lève depuis notre arrivée vers les 6h30. L'aurore se pointe,elle, à 5h55 et c'est toujours un plaisir d'observer les couleurs qu'elle nous offre en nous dévoilant minute après minute le paysage montagneux qui nous entoure.
Étant déjà debout depuis les 4h00, m'activant à l'ordinateur, l'aube renouvelle ce merveilleux spectacle. qui ne me coûte rien, et qui me fait si apprécier le début de la journée toute neuve qui commence.
Mon amoureux, lui, sort du lit un peu plus tard, soit vers les 7h00. On se prépare un ptit café bien chaud et c'est ensemble que nous lisons les journaux du Québec via Internet pour nous tenir informés de l'actualité nord-américaine.
Le déjeuner se prend à 8h00 en regardant le journal télévisé de RDI (chaîne de nouvelles continues au Québec)via Internet. Des crêpes aux bananes ou autres fruits frais avec en entrée une salade de fraises, nectarines et cantaloup. Les fruits, ici, sont si bons et frais que nous en mangeons au moins un kilogramme par jour.
Nous essayons de sortir de l'appartement au plus tard vers les 9h00 ou 9h30 question de profiter du fait que le cher soleil ne nous chauffe pas trop encore. Nous partons découvrir des quartiers de Santiago à pied…nous marchons un bon 3 ou 4 heures pour revenir à notre chez nous vers les 13h30, 14h00. Au début nous passions à l'épicerie au retour de cette promenade pour acheter ce qui nous manquait mais nous avons vite changé car avec la chaleur de 13h00 …revenir chargé était très fatigant. Désormais nous faisons nos achats dès l'ouverture du magasin soit à 9h00 et nous repartons pour notre découverte de Santiago qu'à 10h00 ces jours-là. Parlons un peu justement des épiceries...cela fait maintenant 6 mois que nous sommes en Amérique du sud et il nous arrive encore de nous diriger aux caisses sans avoir fait peser nos fruits et légumes dans le département ce qui nous oblige à retourner les faire peser et ainsi retarder les gens qui font la queue derrière nous. A Santiago la "moneda" ne semble pas être un problème...et le petit change s'accumule dans notre petite bourse.

Pour terminer cette courte chronique je tiens à mentionner que l'été, ici, nous charme par toutes les fleurs que nous voyons répandues un peu partout dans la ville, dans les parcs, accrochés aux balcons...la ville est vraiment joliement fleurie...et les couleurs sont électrisantes.
À suivre...

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