Tout d'abord, une chose que nous ne pouvons pas manqué d'observer dans cette capitale est sans conteste la présence policière. On les remarque sur les trottoirs, face aux différents édifices, sur les coins de rues...deux par deux, accompagné parfois d'un chien plutôt impressionnant...
Tous les guides consultés,ainsi que la personne travaillant au bureau de tourisme nous avaient mentionné que le changement de
À 11h45 , on arrête tout et on se met en marche pour notre rendez-vous avec le changement de garde. La première vision que nous avons en tournant le coin de rue, ce sont ses policiers armés et tenant leurs vitres anti-manifestations !!! Belle image rassurante, non ?? Puis on aperçoit la fanfare, derrière la clôture...comme emprisonnée ! Le trottoir en face commence à se remplir et le bruit des "click" "click" se font entendre. Mais, c'est quoi cette idée de nous offrir un changement de garde sous verrous !!! Le trompettiste doit bien aligner sa trompette entre les barreaux pour jouer !!!
Ils auraient au moins pu ouvrir les barrières pour nous permettre de voir quelque chose...nous ne sommes pas resté longtemps...la vue des armes, des policiers et des barreaux a suffit à enlever tout intérêt !!!!
Depuis notre arrivée au Pérou, on a remarqué une boisson qui attire particulièrement les péruviens soit "INCA COCA" fabriqué par COKE . C’est jaune, pétillant, sucré et très populaire.
Un bon point pour Lima est la non-présence de chiens. Aucun chien errant, donc en conséquence, aucune crotte...une ville propre.
Bien sûr, comme dans toutes les villes sud-américaines, il y les polisseurs de chaussures. Un à tous les cents mètres. Et il y a aussi la madame qui pour un sol (35 sous) te laisse te peser sur une balance. Et évidemment il y a les travailleurs qui ramassent les papiers et les détritus sur les trottoirs. Ils portent tous un masque. Je devrais dire les travailleuses parce que ce sont surtout des femmes. Comme ce sont aussi des femmes, en général, qui font la circulation avec leurs coups de sifflets qui sont en concurrence avec les coups de klaxons. Parfois, sur les boulevards, ces policiers "de transito" sont dans un petit espace surélevé et font ainsi leur travail en plein soleil.
Les rues sont bondées de voitures et de gens. Il y a quand même un certain respect des feux de circulation, même si la présence des policiers, des militaires, des agents de circulation aide à avoir un peu de contrôle. Le soleil est brûlant et nous cherchons l'ombre.
La Basilique est construite sur un réseau de galeries souterraines ou catacombes, lieu d'enterrement pendant la Colonie.
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