mardi 17 mars 2009

Île de Pâques...île enveloppante.

Pourquoi aller là bas ? Pour percer le secret des statues ? Allons donc ! Ce qui nous intéresse, ce n’est pas le pourquoi du comment de leur installation, mais ce qu’elles vont nous dire au creux de l’oreille, lorsque nous serons à leur pied en regardant le Pacifique.

Un 9h00 à 17h00 à l'île de Pâques ! Ça roule…(prise 1)
Un vélo, une bicyclette…quoi de mieux pour visiter une île où il n'existe qu'une seule route. Avec une population de 3791 personnes, le nombre de voitures demeurent restreint...ce qui ne peut que nous être bénéfique. On s'est levé, ce jeudi matin 05 mars, à 7h00, une heure avant le lever du soleil. Le temps de prendre un bon déjeuner, nourrissant pour nous soutenir tout au long de ce périple.
C'est à 8h45 que nous avons enfourché chacun notre monture…c'est un départ. Nous avions hâte d'explorer le restant de l'île. Un peu avant la fourche qui nous mènera à la route côtière, on a vu ses 4 moais dans un champs…ce sont des répliques que quelques résidents ont sur leur terrain privé.
Il ne faut pas beaucoup de temps pour se retrouver de nouveau sur le bord de l'eau. À cette heure matinale il n'y a presque pas de voitures, nous en profitons bien, il est si rare d'avoir le route pour nous seul. En fait j'exagère un peu, nous devons partager la route avec quelques résidents.
Les paysages sont vraiment fantastiques, nous y retrouvons même une petite saveur des Îles de la Madeleine. La route sans être plate, ce qui la rendrait "plate", est parsemée de jolies petites collines douces. Nous sommes surpris de ne voir pratiquement aucune maison et peu d'agriculture. Une dame, travaillant à notre camping, nous expliquera le lendemain que cette partie de l'île est plus sec et que les terrains valent très cher!
Les Moais se font de plus en plus présents…on les voit sur les berges.Cet endroit rassemble une bonne dizaine de sculptures …plusieurs sont renversées, face contre terre, et leur chapeau ont roulés loin devant. Une petite pause suivi de plusieurs autres…tout est prétexte pour s'arrêter et prendre le temps de humer l'air marin.(la suite demain.)













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