vendredi 20 février 2009

Valparaiso...charme mitigé !!

La décision de nous rendre à Valparaiso pour une petite visite s'est prise la troisième journée de notre séjour sur la côte.
Après un déjeuner nourrissant, subtantiel...pour nous soutenir ...car nous avons décidé de faire le trajet pour s'y rendre à pied. Nous avons pris les rues pour se rendre sur le bord de la mer et ensuite nous avons continué à longer l'océan jusqu'au centre de Valparaiso...un bon 2h30 de marche énergique.














Le château "Wulff" est le premier bâtiment que nous croisons sur la promenade. Tout à côté se trouve un promontoire où le panorama est magnifique.




L'édifice en rondeur que vous voyez sur la photo à votre gauche est l'hotel Sheraton. Une plage proprette et permettant la baignade est située tout à côté de cet hotel renommé. Pur hasard que la seule plage où la baignade est autorisée est sise au pied de cet hotel !!! Une fois que nos pas auront dépassé cet hotel...le décor change et nous longerons pendant une bonne heure la mer d'un côté et la route de l'autre.










Un petit héron sur un bout de plage nous ignore totalement...étant seulement attentif à son déjeuner qu'il se prépare à cueillir.

Les premières impressions que nous ressentons à notre arrivée dans cette ville ne sont pas très favorables.
De manière générale Valparaiso nous a paru extrêmement sale et pauvre, une petit mythe de la grande Valparaiso qui semble finalement un peu sur-fait.
Ce bâtiment est le "marché" de fruits et légumes...la peinture s'écale sur les murs, le trottoirs est jonchés de papiers...cela ne me donne pas du tout le goût d'y entrer ...et nous avons passé sans nous arrêter... à suivre...
Un peu d'histoire...
Le nom de Valparaiso est né d'un malentendu : En 1536, Juan de Saavedra, compagnon d'aventure de Diego de Almagro (le découvreur du Chili), était descendu du Pérou pour avoir de ses nouvelles. Il le retrouva dans cette immense baie qu'il baptisa Valparaiso , du nom de son village en Andalousie et pas du tout pour le côté paradisiaque des lieux. L'histoire devait confirmer par la suite ce malentendu.

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